Ce sont les câbles de C-NEWS qui confirment avec certitude la tenue de cette réunion satanico-diabolique.
Des invitations ont été distribuées dans le secret absolu à plusieurs compatriotes du Grand-Kasaï tirés en pelle mêle.
À l’ordre du jour, planter le décor de la conservation du pouvoir de Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, en se basant d’abord sur ses origines Kasaïennes.
Ce décor tribal est entre autres déjà planté à la cour constitutionnelle, à la CENI, dans l’armée et la police pour ce ; aujourd’hui c’est au sein de l’opinion et orginaires du Grand-Kasaï, que cela se consolide.
Une démarche suicidaire qui ne va en aucun cas reconduire Félix Tshilombo aux affaires.
Déjà qu’en 2018, il n’avait pas gagné, plutôt c’est Kabila qui avait fait de lui président de la République.
D’ailleurs, le pouvoir on ne le conserve pas par des voies obscures et tribales du genre seule qui réunira les Kasaïen devant samedi 17 décembre à Béatrice-Hôtel. Le pouvoir s’exerce à travers la démocratie. Il se conserve notamment par les capacités du président à rendre à un bon service à la nation, ses réalisations concrètes et réelles sur terrain au profit du bien-être du peuple, ses capacités de faire respecter le droit de l’homme, de faire régner la vraie justice…
Ce n’est pas par des vociférations de Kabuya Augustin à Mbuji-Maï, appelant les gens de son coin à intégrer l’armée et la police pour envisager conserver le pouvoir de Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi.
Ce à quoi ressemble en réalité le pouvoir de FATSHI.
Si ce n’est pas par la tricherie, le clientélisme dans les entreprises publiques et la petite territoire, c’est par les tribus que les stratèges de ce régime espèrent maintenir Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi.
FIFI KHONDE