
Acte I : Funa
En effet, tout au long du mois de la femme, l’épouse du président Elu Martin Fayulu Madidi, Esther a eu un agenda très chargé, plein des descentes sur terrain pour remonter le moral et donner de l’espoir à la femme rd-congolaise, spécialement celle meurtrie des provinces du Nord, Sud-Kivu et Ituri.
Esther Fayulu, est allée là où certaines personnes n’ont jamais pointé le né notamment à Funa, dans le Grand -Tshangu et à Lukunga.
Partout, où celle-ci est passée, elle a été accueilli par des dizaines de milliers des femmes, dans des salles remplies comme un œuf.
Dans ces salles pleines du monde, Esther a circonscrit l’essentiel de son message sur le sous-thème du mois de la femme en RdC : »la femme congolaise au centre de toutes les ambitions et de la cohésion nationale ».
Elle a, à cette occasion ému d’entrée de jeu, sa problématique à savoir : »si nous peuple Congolais, sommes ensemble et unis, est-ce le rebelle peut-il nous envahir? ».
Non ! C’est pourquoi, avait-t-elle dit, à l’étage de Funa, que la journée de la femme, était particulière pour les femmes de l’Est.
« Nous sommes de Cœur avec vous », avait exprimé Esther Fayulu, avant d’indiquer ce qui suit : »nous sommes de Cœur avec vous car, il ne passe un seul instant dans nos prières sans que nous évoquions les mamans de l’Est. Tout le temps, nos genoux sont fléchis aux fins de prier pour elles ».
« Nous, sommes de Cœur avec nos mamans de l’Est et nous prions pour elles », expliquait Esther Fayulu aux journalistes au sortie de sa face avec les femmes de Funa : »car nous savons qu’elles vivent dans une situation inacceptable et insupportable ».
C’est pourquoi, avait-t-elle exhorté ce qui suit ce jour-là : »nous demandons aux politiciens d’unir leurs efforts et actions pour trouver une solution afin que cette guerre qui a trop duré s’arrête ».
A cause de cette guerre, continue-t-elle à faire entendre dans les mêmes entrefaites : »les femmes de l’Est ne peuvent pas vaguer librement à leurs occupations, surtout que les conditions que vivent les déplacés de guerre sont inhumaines ».
Voilà pourquoi, insistait Esther Fayulu à chaque fois qu’elle a eu à prendre position au sujet de la guerre pendant le mois de mars, comme quoi : »l’Etat et les responsables politiques doivent se mettre ensemble pour trouver une solution comme l’a toujours demandé le président Martin Fayulu à travers la cohésion nationale ».
(A lire Acte II : le passage de Esther Fayulu à Tshangu, dans notre deuxième livraison)
JOHN TSHINGOMBE LUKUSA