La fin de règne d’un homme créé « président » de toutes pièces par Joseph Kabila
« Il n’en fait plus aucun doute géopolitiquement, les USA ne cachent plus leur ras-le-bol du régime tshisekedi après 4 ans de gestion catastrophique à la tête d’un État géostratégique comme la RDC », rapportent des sources diplomatiques.
Cela, loin de sa récente décision irréfléchie et suicidaire de tourner la RDC traditionnellement sous protectorat américain depuis sa naissance étant qu’Etat Indépendant du Congo vers la Russie qui monte en puissance en Afrique contre la géopolitique américaine, les
engagements pris au début de sa présidence auprès des USA pour la reconnaissance de son pouvoir, notamment mettre la main sur Kabila et toute sa kabilie, diminuer l’emprise économique de la Chine en RDC ainsi que instaurer une vraie démocratie basée sur les droits de l’homme et contre l’impunité et la corruption, Félix Tshisekedi semble après 4 ans de règne essoufflé par les défis du pays et incapable de tenir à ses engagements tellement distrait par le confort du pouvoir plutôt que trouver des réponses aux multiples problèmes que connaît la RDC ainsi que sa relation multilatérale avec ses partenaires.
Fort de plus perdre le temps face aux vicissitudes de la real politique, les partenaires stratégiques notamment les USA affûtent aussi leurs armes pour ne laisser l’incompétence demeurer à la tête d’un État géostratégique comme la RDC, raison pour laquelle elles demandent clairement à Monsieur Félix Tshisekedi d’assurer sa succession aux prochaines échéances de 2023 le considérant comme un simple présidence de transition.
Multipliant ainsi les exigences à son encontre pour le pousser vers la porte de sortie profitant sans autre forme de procès affirmant dans leur couloir diplomatique à Washington, tout est bon pour faire partir Félix Tshisekedi.
Décidant ainsi pendant cette période préélectorale, accentuer la pression sur lui, sa politique, son gouvernement et ses propres conseillers d’abord en le coinçant dans son intention de repousser les élections en octroyant des financements à la CENI, de maintenir la MONUSCO, à l’Est de la RDC pour accompagner la CENI malgré l’insécurité, de lui exiger de rompre tous les accords miniers et économiques avec la Chine, d’ordonner à la justice congolaise d’ouvrir le dossier sur le rapport mapping, d’arrêter la corruption qui gangrène son propre entourage, de renoncer à toute idée de faire intervenir la Russie en RDC, sans quoi une série des sanctions ciblées contre ses gouvernements et ses propres collaborateurs tombera dans les jours à venir afin de le suggérer de renoncer à tout maintien au pouvoir pour un second mandat quoi constitutionnel, au risque d’un suicide collectif.
C’est dans cette optique, que les USA, expliquent les mêmes sources diplomatiques, envisagent d’ouvrir des grandes opportunités aux acteurs politiques congolais en soif d’un réel changement suivant les exigences géopolitiques internationales, que les firmes multinationales politiques Atlantic Concil trouve approprié d’analyser en profondeur le programme proposé par l’opposant Martin Fayulu après la manifeste de Kisangani.
Une opportunité qui verra nombreuses grandes personnalités politiques et diplomatiques américaines passé en revue les erreurs des élections passées de 2018 afin de boucher toute issue de la fraude ou du deal politique pour le pouvoir, de façon que le véritable vainqueur des élections sous l’oeil observateur des USA, soit bel bien proclamé.
JOHN TSHINGOMBE LUKUSA