L’honorable Barthélémy Botswali l’a recommandé, le dimanche 28 août en direct de sa gigantesque ferme de Kimpoko, où il a tendu public les résolutions des assises de retraite politique de son parti, la Convention pour la démocratie et la liberté, CODELI, membre effectif de l’Union sacrée.
Dans la première résolution, le président national de la CODELI, le patriarche Batswali, qualifiant celle-ci dans son speech, la révolution phare des travaux, note qu’il s’agit d’un ajustement apporté à la composition du comité directeur du parti qui passe de 20 membres à 29.
Cet ajustement, a-t-il dit : »répond à la nécessité de la représentation nationale que doit refléter le parti ».
Toujours dans ce même ordre d’idée, l’ancien ministre des affaires sociale et humanitaire sous Adolphe Muzito, le même Barthélémy Botswali, a laissé entendre qu’une autre innovation de cette retraite, c’est la division de la ville de Kinshasa en 8 fédérations.
Cela, a-t-il indiqué, c’est pour répondre ainsi au besoin de gestion de proximité du parti, tout en soulignant qu’à la même occasion, la retraite de Kimpoko a procédé à l’actualisation de la grille des cotisations de membres, au regard de la situation économique du moment.
Puisque, les élections s’approchent, le président de la CODELI, a fait remarquer à ses partisans venus nombreux assister à la clôture de la retraite, que la réactivation des structures techniques crées l’année dernière, en l’occurrence le bureau d’études et le centrale électorale du parti, en vue d’accélérer les préparatifs des élections de 2023.
Au sujet d’ailleurs des élections, le vieux Botswali prenant parole en qualité du patriarche, connaissant et ayant été là présent à tous les rendez-vous politiques du pays depuis son indépendance a recommandé exactement ceci aux membres de la CODELI et au peuple congolais : »je vous chers camarades de vous mobiliser en vous inscrivant tous massivement au rôle électoral et en allant voter, le jour du scrutin, même sous les intempéries, car pour la CODELI, le vote est certes un droit, mais il doit aussi être au-delà d’un devoir, une obligation.
En effet, la fin de la retraite de la CODELI a été ponctué par ailleurs, par l’installation des comités fédéraux de Tshangu I et II, ainsi que du comité sectionnaire de Kimpoko.
JOHN TSHINGOMBE LUKUSA