Jean-Hervé Mbelu Biosha, -JHMB- est un As de la sécurité, affirment plusieurs spectacles en matière de sécurité.
Ceux qui suivent ses pats à la tête de l’ANR, disent que ce professeur d’université fera de l’agence nationale de renseignements est un véritable service de sécurité.
À la différence, de l’époque de Kalev où ce sont des journalistes, qui faisaient objet de la traque par les éléments de l’agence nationale des renseignements.
Outré les journalistes, ce sont aussi les activistes de droit de l’homme et certains opposants du régime Kabila, qui étaient en gros les cibles de Kalev Mutomb, lequel Kalev avait transformé ce service de l’État en une machine de répression et à tuer sans état d’âme.
Personne ne pouvait imaginer une telle mutation avec JHMB.
Des observateurs très avertis affirment que depuis l’avènement de Jean-Hervé Mbelu Biosha, ce service est adapté à ses missions sécuritaires.
Plus la traque des journalistes ni d’opposants encore moins d’activités de droit de l’homme.
Le transfert par l’ANR du journaliste Maurice Shawanga de Kananga au parquet, 48 heures seulement après son interprétation en dit tout, sur les compétences avérés de l’actuel leadership de l’agence nationale des renseignements à même de faire de cet établissement, un véritable service de sécurité nationale.
Pour rappel, Maurice Shawanga a été interpellé le mercredi 15 févrie à l’ANR, le vendredi 17, il a été transféré au parquet général du Kasaï-central, pour que justice fasse son boulot.
D’ailleurs, le conseiller national de l’UNPC Sosthene Kambidi qui a lancé cette alerte, a soutenu avoir déjà engagé trois cabinets d’avocats pour la défense du journaliste Maurice Shawanga, correspondant du média en ligne télégramme du Congo et Directeur d’une chaîne locale à Kazumba.
« Le vice-gouverneur Martin Makita serait à la manœuvre pour créer des ennuis judiciaires au journaliste », rapportent Yabisonews, tout en affirmant qu’il est reproché au confrère d’avoir envoyé, dans un groupe WhatsApp, des messages discoutois à l’endroit du vice gouverneur, suite au dossier de 5000 FC de FOPED exigé aux élèves du secondaire par le Gouverneur John Kabeya.
Ces messages auraient frustré le Vice-gouverneur, pour avoir été accusé de s’être opposé à la décision du secrétaire général à l’EPST, interdisant la perception de FOPED.