mai 7, 2024

Ça sent la grosse corruption au Tricom de Lubum!

Mhamed auto Lubumbashi, c’est de lui qu’il s’agit. Un mythomane hors du commun. Un sujet libanais qui fait broyer du noir aux Congolais.

Il a été démasqué, à l’audience publique du tribunal de commerce de Lubumbashi, le vendredi 23 juin.

Tenez, rapportent plusieurs avocats proches du dossier sous RAP 107/CD, au tricom du Chef-lieu de la province du Haut-Katanga, que trois juges de cette juridiction à savoir Serge Mwanza, Tshibala et Katenga ont été acheté avec des sommes sonnantes venant de Mhamed.

C’est en vue notamment de prendre des décisions allant dans le sens d’empêcher les entrepreneurs Congolais de créer des sociétés dans leur propre pays, pour permettre à ce libanais de garder et contrôler le secteur en la matière.

Pourtant, font remarquer les sources comme quoi, Mhamed n’est pas non seulement honnête, il n’est pas non plus crédible encore moins sérieux.

C’est un mythomane, qui fait voir les Congolais de toutes les couleurs.

À la dernière minute, plus de 150 de ses travailleurs venaient de démissionner pour dénoncer et fustiger les maltraitances, dont ils sont victimes de la part de ce sujet libanais.

Ce qui passe pour un scandale, c’est le comportement de ces trois juges congolais, qui accompagnent Mhamed dans ses sales besognes.

Les trois juges ont été corrompus, selon les accusations portées par plusieurs proches du dossier RAP 107/CD.

Ce qui a poussé la partie adverse de récuser les trois juges en question.

Le président du Tricom est également un cas. Il est trempé jusqu’au cou dans cette affaire. En effet, aussitôt les trois jours récusés, il a pas hésité de procédé à un remplacement.

Comme si cela ne suffisait pas, les nouveaux trois juges remplacés, à leur tour se sont faits grincer les pattes par le même sujet libanais.

Du coup, c’est l’appel du président de la République à la promotion de l’entrepreneuriat congolais, qui est torpillé par ce libanais avec la complicité de la justice congolaise, puisque que même la nouvelle composition et le ministère public se sont laissés corrompre selon les coulisses du dossier.

DÉNIS NUMBI

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