mai 4, 2024

Joëlle Bile est membre à part entière de la LINA -Ligue nationale des Anamongo-, la méga structure de la Société civile qui couvre le plus grand espace socioculturel, linguistique et géographique du Congo de Lumumba. À ce titre Joëlle Bile est candidate de la Société civile. Non d’une quelconque formation politique. Qui dit Société civile fait allusion au peuple. Comme pour dire, sans contredit, que Joëlle Bile est la candidate du peuple congolais lui-même, le souverain primaire. Donc, la candidature de Joëlle Bile est déjà portée par celui-là même qui détient le pouvoir, et auprès duquel les aspirants au fauteuil présidentiel sollicite le mandat. La candidate n°25 à la présidentielle du 20 décembre prochain jouit d’un ancrage territorial sans pareil, comparé avec celui de ses concurrents, dont les formations politiques ne sont pas représentées à l’échelle nationale. Ce qui fait bénéficier à la génitrice de « La République des valeurs » une longueur d’avance par rapport à ses challengers à la prochaine présidentielle.

Un ancrage national assuré

Cela va de soi. Joëlle Bile est la candidate à la présidentielle issue du peuple congolais lui-même. En ce sens qu’elle est membre à part entière d’une grande plateforme de la Société civile, dénommée LINA -Ligue nationale des Anamongo-, et qui est présente dans huit (8) provinces, s’il faut s’en tenir à l’ancienne configuration géographique de la RDC -République démocratique du Congo- avec onze (11) provinces. Parmi ces provinces, le Grand Équateur, le Grand Bandundu (Maï Ndombe), le Grand Katanga (Tanganyika), la Grande Orientale, l’espace Grand Kasaï, le Maniema, le Sud Kivu et Kinshasa.

Compte tenu de ce qui précède, Joëlle Bile jouit, via la LINA/Société civile dont elle est membre, d’un ancrage territorial à l’échelle nationale. Un ancrage qui fait de Joëlle Bile la candidate Présidente de la République la mieux représentée sur toute l’étendue du territoire national. Surtout à l’intérieur du pays, dans le Congo profond, où les Congolais veulent voir quelqu’un véritablement porté par eux-mêmes présider à leurs destinées, et à celles de la RDC -République démocratique du Congo-.

Candidate de la Société civile, celle a plusieurs composantes en son sein, à savoir les confessions religieuses, les mouvements citoyens, les associations, les organisations non gouvernementales, les communautés locales, l’artisanat, le paysannat ainsi que les organisations syndicales et professionnelles. Toutes ces couches de la population congolaise sont déjà, de facto, derrière leur candidate, Joëlle Bile.

Une longueur d’avance

Pas besoin, visiblement, pour la candidate n°25 à la prochaine présidentielle de battre même campagne. Pas besoin non plus de se déplacer partout. Car, sur le terrain, sa campagne électorale est relayée par la population elle-même, qui porte le message de sa candidate aux confins du Congo.

C’est le cas, notamment, de la promesse lui faite par les jeunes du district de Mont-Amba et les membres de la LINA, après les échanges citoyens qu’elle avait eus respectivement avec eux autour de son offre politique intitulée « La République des valeurs ».

Le travail de fourmi se fait déjà au niveau de différentes composantes de la Société civile, en commençant par la LINA, dans les couches profondes de toutes les provinces de la RDC.

Alors que la candidate n°25 est encore à Kinshasa, en attendant le début de sa tournée à l’intérieur du pays, en commençant par Inongo, chef-lieu de la province de Maï Ndombe, sa base naturelle, déjà l’écho de son message de campagne électorale retentit dans presque toutes les provinces du pays.

Une nouvelle stratégie de travail de terrain, qui confirme qu’il ne suffit pas seulement de battre campagne, avec toutes les apparences et impressions qui en découlent, pour s’assurer de la victoire, comme pensent d’aucuns.

CP

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