Par contre ceux-ci affaiblissent et divisent davantage les efforts consentis ensemble par les sociétaires de l’Union sacrée autour du président de la République, Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, en vue d’offrir au peuple le bien-être social, la paix et sécurité.
Ce n’est donc pas dans les coups bas montés de toutes pièces contre un partenaire politique de premier plan, comme Bemba, que la famille politique du chef de l’État, surmontera la pente. C’est plutôt dans l’unité des esprits et du corps. Ne dit-on pas, que l »union fait la force?
En effet, si les talibans et tous ces fanatiques autour de l’Union sacrée pouvaient arrêter avec ces mensonges, montages grossiers et lynchages médiatiques sans preuves établies, ils aideraient le président de la République à se concentrer dans la recherche des solutions durables.
Qui ignore que Jean-Jacques Mamba venait de prendre ses distances avec le MLC, pour une deuxième fois?
Une première fois, il avait même quitté son poste de porte-parole et ne prenait part à aucune activité du MLC, pendant le gros de la mandature passée ; avant qu’il n’y retourne en catimini pour y être aligné à la course aux législatives?
La dernière démission, il venait de la déposée, il y a peu, avant que l’ex élu de Lukunga ne rejoigne les rangs de l’AFC de Corneille Nangaa, en direct de Bruxelles à travers une annonce devant la presse.
Qui ignore cette énième démission?
Cela a d’ailleurs poussé le secrétariat général du parti, Fidèle Babala d’éclairer l’opinion dans un communiqué de presse, que Mamba avait démissionné du MLC ; que les activités de ce dernier aux côtés de Nangaa n’engagent nullement le parti bembiste.
Recourir aux mensonges et montages absurdes de ce genre, à travers les réseaux sociaux et la presse en vue de chercher à éloigner le vice-premier ministre de la Défense nationale du président de la République, est une fausse manœuvre.
Jean-Pierre Bemba, tel que cela est affirmé dans plusieurs débats et salons politiques est le seul partenaire politique, qui est reste honnête et loyale au chef de l’État. Il a été au front de la bataille électorale, sur terrain distribuant des cartes aux challengers du président, virulant pour la victoire de FATSHI, une réalité que tout le monde a vécu. La remontada de Félix Tshisekedi, quand Bemba avait mis son maillot de campagne présidentielle du candidat n•20.
Vouloir nuire à un tel allié politique qui sait encaisser les coups, ayant une longue expérience dans la politique, qui a été vice-président de la République et qui maîtrise autant des dossiers au niveau national, régional et international, parce que tel ou tel autre a besoin d’être premier ministre, affaiblissent en effet les efforts que le président de la République déploie à travers le monde pour terminer les guerres dans les régions Est de la République démocratique du Congo.
« Éloigner Bemba de Félix Tshisekedi serait une mauvaise stratégie, dans la mesure où, le ministre de la Défense reste aux côtés du président de la République, cette voix qui porte et au niveau régional et à l’international », explique par exemple à C-NEWS, un observateur averti. Ce dernier rappelle même qu’étant donné les accords signés entre les présidents Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi et Paul Kagame ; lesquels dont fait allusion l’Union Européenne, ne sont pas différents de ceux dont Laurent-Désiré Kabila avait pris à son temps à Lubumbashi avec les multinationales, alors qu’il était encore rebelle.
Ces questions, dit-il : »Bemba pour avoir été au gouvernement 1+4, les maîtrise parfaitement. Sa présence aux côtés du président de la République est un atout majeur. Donc, cette campagne de diabolisation contre Bemba est un passe temps inutile, sans conséquence puis de nul et de non effet. Heureusement, qu’il n’y a rien de vrai dans ces lynchages qui ne relèvent que d’une mauvaise dans le chef de certains alliés de l’Union sacrée ».
JOHN TSHINGOMBE LUKUSA